Les îles Vestmann, suite
Du haut de l'Eldfell, les contrastes sont saisissants...
En face, la partie ancienne de l'île, sous nos pieds, la partie "neuve".
Et je vous jure, j'ai a peine re-saturé les photos...
Le sommet... atteint après une jolie grimpette dans les scories.
Et là, surprise, il fait chaud, et cette chaleur émane de la terre. Tiédasse au contact, elle devient vraiment chaude à quelques dizaines de centimètres de profondeur.
Si chaud que les habitants y préparent un 'lava bread' qui, enterré, cuit en 24 heures...
Habillée 'total look montagnarde', je cuis aussi ;-)
Un cairn volcanique et multicolore...
Madame, revient Madame j'ai pas eu le temps de prendre ma photo de ton joli poney islandais sur le volcan...
La flore sur la partie neuve de l'île se limite à quelques fleurettes et cette mousse assez spéciale...
Certains habitants ont tenté de s'approprier la superficie additionnelle de leur île et ont crée un jardin assez bizarre appelé Gaujulundur.
Petit tour sur la côte "neuve" en rentrant...
La différence entre les deux périodes de formation volcanique est vraiment frappante...
La lave prend vraiment des formes étranges, notamment aux endroits où elle s'est déversée dans la mer et a refroidi brutalement...
De petits chemins, balisés avec des bouts de plastiques colorés, parcourent l'île, émaillés de bancs.
Auto-portrait...
Ah non,
Sur la plage aussi, les contrastes sont saississants comme ces algues sur sable noir...
Juste avant de revenir au port, on passe par Skanssvæðið, là où la coulée de lave de 1973 s'est arrêtée, avec son église norvégienne en bois.
Le réservoir d'eau où la lave s'est stoppée. Pendant les 5 mois de l'éruption, environ 500 personnes sont restées sur l'île pour continuer à travailler dans les pêcheries et tenter de faire dévier les coulées de lave...